Pendant plus de trois mois, le travail des policiers de Nice, qui peuvent s'appuyer sur important réseau de vidéos de surveillance, a été suivi. Créé il y a dix ans, le Centre de supervision urbain (CSU) contrôle 3 200 caméras. Près de 1 600 séquences vidéo ont fait l'objet d'une réquisition judiciaire, soit quatre par jour en moyenne. Sur le terrain, les policiers sont aussi confrontés à des bagarres de plus en plus violentes, à des débordements dus à l'alcool. Mais grâce à leur rapidité d'action, les forces de l'ordre gardent bien souvent l'avantage...