Le père Véran est retrouvé mort dans l’église où il avait l’habitude de célébrer la messe. L’arrière de son crâne s’est fracassé contre des marches. Vu la violence du choc, le légiste pense qu’une personne l’a probablement poussé. Selon le père Bellevue, qui dirige le groupe scolaire, la victime, très charismatique, avait une approche moderne et décomplexée du catholicisme. Les soupçons se portent rapidement sur sœur Sophie, qui se révèle être une ex-braqueuse. Elle a fait quinze ans de prison mais une partie de l’argent du casse est toujours introuvable.