En Normandie, comme dans presque toutes les régions, le Samu est totalement saturé. Avec 300 000 appels par an, il peine à répondre aux besoins, dans une région où beaucoup de zones rurales sont difficiles d'accès. A chaque intervention, Anne-Sophie, César, Florian et la quarantaine d'urgentistes du Samu d'Evreux doivent garder la tête froide et poser un diagnostic rapidement sans mettre en danger la vie des victimes. Entre accidents de voiture sur les routes de campagne, tentatives de suicide et enfants en détresse respiratoire, ils sont prêts à faire face à n'importe quelle situation.